• L'enseignement supérieur britannique se prépare à des restrictions de moyens semblables à celles déjà subies sous Margaret Thatcher. Les plans se multiplient déjà pour adapter les universités à ces futures coupes sombres. Un universitaire commente ce climat dans une tribune publiée par The Guardian.

    Higher education spending cuts - achievable, perhaps, but hardly desirable

    Academics seem to be keen to outdo each other on who will make the biggest cuts

    David Eastwood, The Guardian, Tuesday 29 Sept 2009

    http://www.guardian.co.uk/education/2009/sep/29/higher-education-spending-cuts

    Lire la suite...


  • Les chargés de cours de l'Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue envisagent de déclencher une grève. Ils estiment que les négociations piétinent avec la direction.

    Jeudi dernier, une seconde rencontre avec un conciliateur a eu lieu. Les chargés de cours espéraient obtenir une nouvelle offre de l'employeur.

    Devant l'absence de proposition, le syndicat va soumettre la possibilité de déclencher une grève en assemblée extraordinaire le 30 septembre.

    La présidente des chargés de cours de l'UQAT, Isabelle Morasse.

    « Il ne s'est rien passé aux deux dernières séances de conciliation. Donc nous autres on est vraiment tannés. On dirait qu'ils veulent vraiment vraiment étirer la sauce et nous pousser le plus loin possible. Alors nous on a assez attendus. On est à bout. Donc on va rencontrer les membres le 30 septembre lors d'une assemblée spéciale pour obtenir le vote de grève et passer à des moyens de pression qui sont autour de la grève.

    Source : http://www.radio-canada.ca/regions/abitibi/2009/09/21/004-charges-cours-UQAT.shtml


  • Au nom du rétablissement des finances publiques, Gordon Brown vient de lancer un plan de coupes budgétaires. Contrairement à ses engagements, le secteur de l'éducation n'est pas épargné.

    http://www.independent.co.uk/news/education/education-news/minister-reveals-huge-schools-cuts-1790571.html

    Lire la suite...


  • Dakar, 15 sept (APS) – La section des universités du Syndicat unique et démocratique des enseignants du Sénégal (SUDES) a mis en garde les autorités sur les éventuels problèmes qui risquent de perturber la prochaine rentrée scolaire et universitaire avant de prendre à témoin l’opinion nationale sur les difficultés réelles du système éducatif dans son ensemble.

    ‘’Nous ne cherchons pas à taper sur les doigts du gouvernement. Ce qui nous intéresse c’est de réfléchir sur les questions profondes pour le développement et l’épanouissement de notre système’’, a déclaré, mardi, le secrétaire général du syndicat au cours d’une conférence de presse.

    Cheikhou Issa Sylla a indiqué que les revendications des enseignants sur le non-paiement des primes complémentaires, le retard des voyages de recherche et l’admission des nouveaux bacheliers et ceux de l’année dernière à l’université, entre autres.

    M. Sylla a fustigé l’attitude du gouvernement qui ne manifeste ‘’aucune disposition à mettre un terme aux problèmes évoqués’’.

    ‘’L’attitude du gouvernement dans le remplacement des personnalités chargées de signer les accords et les décrets porte à croire que nous allons vers un amoncellement de nuages qui vont davantage assombrir la situation’’, a-t-il dit.

    Il a fait savoir que l’attitude du syndicat dépendra de celle des autorités, soulignant que des concertations sont en cours avec d’autres acteurs de l’intersyndicale pour ‘’rendre vivable notre université’’.

    Refusant de verser dans la confrontation frontale à la manière des étudiants qui n’hésitent pas à investir la rue, le SUDES en appelle au ‘’sens des responsabilités’’ de l’Etat pour la prise en charge effective de toutes les difficultés qui gangrènent le système éducatif au Sénégal.

    ‘’Notre vocation, ce n’est pas d’aller en grève, ni même d’être des syndicalistes. Nous sommes des enseignants, des chercheurs et notre place est dans les facultés et les amphis. Qu’on nous aide à nous concentrer sur notre mission’’, a pour sa part plaidé le secrétaire général adjoint de la section des universités du SUDES, Mamour Sankhé.

    ‘’Pour le moment, nous prenons nos responsabilités et nous mettons les autorités devant les leurs, car nous vivons un malaise à l’université. Nous ne dirons pas que demain nous irons dans la rue, seulement nous avons un rôle de veille et d’alerte et nous userons de tous les moyens pour leur exprimer la situation que vit l’université’’, a-t-il ajouté.

    ‘’L’heure n’est pas au mot d’ordre, selon les syndicalistes, qui patientent jusqu’à la rentrée en octobre pour prendre les décisions idoines’’.

    ‘’On va vers la rentrée dans 15 jours et d’ici là, nous attendons de voir les réactions pour pouvoir nous prononcer plus clairement’’, a déclaré Cheikhou Issa Sylla.

    Source : http://www.aps.sn/aps.php?page=articles&id_article=59798


  • Universities "forced to stop teaching languages"

    Guardian.co.uk
    Polly Curtis
    09.09.09.

    http://www.guardian.co.uk/education/2009/sep/09/language-courses-threatened

    Lire la suite...





    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique